coup de gueule

Bonjour,
Je viens de découvrir c forum et je le trouve vraiment intéressant. Je ne sais pas si c'est un endroit pour parler de çà mais je voulais aborder un sujet.
Je suis réalisateur, passionné de cinéma mais pour le moment je ne tourne que des clips. Je voulais me perfectionner dans la réalisation de films, pour cela je suis allé à L'EICAR, à a plaine st Denis. Je suis d'origine africaine, et en arrivant j'ai eu une sensation bizarre car il n'y avait aucune personne de couleur, tout le monde était pareil, cheveux longs, style année 70, je ne me sentais pas à ma place. Même si j'avais été accepté je n'aurais pas pu rester. Car quand je suis arrivais tout le monde m'a regardé comme s'ils se demandaient ce que je faisais la.
Je voulais avoir votre avis et quelques conseils car je vais y retourner.
Ne vous enervez pas c juste une constation et je voulais la partager.
Salut
@+

 

Imagine le contraire maintenant, tu mets uine de ces personnes là dans un collège africain, tout le monde va le regarder et puis ça passera c'est juste un changement je pense pas qu'il y ai du racisme à ça même si il y en a venant de certain, mais un con reste un con ^^. Ne rate pas tes études et ta passion juste pour ça ^^

 

Voilà peut être un message qui vaudrait d'être redirigé dans la partie "formation-écoles", nan ?

Je ne connais pas l'eicar donc je ne pourrais pas trop t'aider mais comme dit plus haut, ne rate pas tes études pour ça !

 

It's done

GiLd

 

réponse : parce que ces gens là dans ses écoles sont tous des peignes culs, fils à papa, fan de tarantino ou de LOTR et qui se croient donc fan de cinéma ^^

 

ils regardent

rassure toi, une fois j'étais aussi dans cette école (passage de 15 min)et j'ai eu la même sensation - que ils me regardent ... trop on va dire. (Je suis européenne, peux blanche (même trop pale parfois) cheveux long lolll) Perso je ne peux pas dire que l'accueil en général était chaleureux.

 

Je connais bien cette sensation bizarre pour avoir fait quelques tournages en Afrique et en Asie : une fois en m'arrêtant dans une rue pour lire un plan j'ai créé un embouteillage de quelques centaines de piétons chinois curieux avec des gosses qui me tiraient les poils des bras car les chinois n'ont pas la chance d'avoir ces accessoires décoratifs. On finit par s'habituer c'est pas trop grave.