C’est assez nougat-de-veaux !

(essai de propsective philosophique via le méta-langage)...

Le problème, c’est que la plupart n’ont pas procédé à une purge intra-mental. Le langage universalo-cosmique que j’utilise, c’est une sorte de philosophie destructurée. J’ai procédé à un désentrelaçement tramique dans la syntaxe classique, car c’est à cause de cette dernière que nous tournons en ronds dans nos idées : les catholiques tournent en rond autour de la croix. Les communistes tournent en rond autour de Marx. Les lepénistes : autour de Jeanne d’Arc. Les boudhistes : autour du gros lard qui fait de la pub pour Michelin.

Il faut désaxialiser le langage, qui ne langage plus la passation de nos intra-pensées. C’est pour cela que je butine (Bzzzz....) de site en site, pour répandre ce langage universalo-cosmique, que nous pouvons tous entraver dans les boyaux tortueux de nos disques dures cervicaux, qui débitent mécaniquement tout un tas de scories qui se répandent en putréfaction intellectuelle, et on voit plus rien... on blablatte, on blablatte mais notre humanité-humaine en reste confinée à une existence de blattes infâmes, qui court sur un morceau de barbake pas fraiche, et personne n’est satisfait.

Il faut méga-aboutir à un autre langage. Sinon, le troyen des tempes nouvelles se flottera de brêler entre les points d’étalonage. Mais en suréalité, celle qui agrée, celle qu’il suit, est celle qui ponds le mieux sur ses costumes.

La sapidité, avec la quenelle d’une pinion au gout de component, est assez nougat-de-veaux. Cela se répand. C’est-à-dire que c’est dopté par les kalembres d’une intra-captation à moitié démunautée. Et cela s’accroît jusqu’au suriaxe maxipalisée.

Suppositionnez que ce moulement soit couscoussé au plus hautain dégrêlement : la transmoisson indubitative et moîtable de cette inducto-translation synergièsque deviendrait poreuse, parce que pas parue n’importe où sur toute la casse supra-humaine. Elle serait presque tentaculée d’une manière pieuvresque, comme la propanégation d’une sonde dans un extralieu parfaitement bi-lastique. Car, tout est surpassé d’obéliance.

L’interposition transabrasive se replace dans l’insupposition intradéductive, selon les anégories en vigueurs. Mais l’implosition se meurt. Si nous pensons être défibrilisés, c’est à force de mulvitudes.

Il faut propa-opter pour la philo destructurée. Le but : passer au-delà des mot pour percevoir la quintessence originel qui nous relie tous à l’espace cosmique. Comme ça, nous ne serons plus divisé. Il n’y aura plus de sectes, et d’antisectes sectaires. Je suis pour la desectarisation radicale dans l’intra-humain.

Il faux en avoir dans l’estomac, il faux se remonter les roploplos face à ce world qui devient very very complexifié. Car ça sera pas suffisant de gober des chips devant l’autel le dimanche, même en compoction avec ses jolie souliers vernis devant l’empourpré qui s’tape un coup de rouquin dans une coupe en argent. La vie, ça se passe dans l’estomac, pas dans les boyaux du compteur à gaz, qui turbine, qui mouline à vide.

Je suis revenu à la quintessence originelle, au-delà des statismes qu’englue les théorismes par lesquels l’homme aime bien se boviniser. Il lui manque plus qu’les cornes, tellement il meugle ses mantras (politik, égliso-religieux, mosquéto-enturbanée, syndico-butors, etc.).

Je suis méga-d’accord avec le recta-avisé qui est contenue en chaque intra-intériorité. Et de plus, je suis opta-d’accord avec cette histoire de respect. Pour moi, ce qui compte, c’est de s’extirper de ce foutue tremblottement parkisnsonnien dans la gadoue séchée. C’est ainsi que je vois mon émancipation de cette espèce de diarrhée discontinu de plein de problèmes qu’on voit dans les informations supra-télétransmises dans nos ciboulots rammolis et flasques.

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Tout à fait...

 

Ne vous laissez pas abuser !

C'est juste un coup de pub pour les nouveaux manuels scolaires de cette rentrée des classes 2007.

 

kidkiller:
aurais tu oublié ton latin???

On ne dit pas "le recta avisé", mais "les recta avisés". Ou alors "le rectum avisé"...

Ca va être dur de t'en sortir, de cette diarrhée verbale qui est la teinne. Tu es dans la m///crois moi!!!

 

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on dirait du Léo Ferré ..

 

ça vous dirait un autre délir de cet accabit ? :lol:

 

mais oui !

 

J’ai eu une exctyse mystaque ! Hier, en m’endormant sur mon After Effect, une lumière lumineuse, qui éclairait avec beaucoup de clarté éblouissante, qui fait mal aux yeux, s’est allumée en moi. Pourtant, je n’avais appuyé sur aucun bouton de mon acnée. C’est incroyable, hein ? Pour que ça vous arrive aussi, il faut en revenir à la dynamique de l’intra, c’est la seule voie de réactivation du ré-armement de l’auto-réformation, c’est important de souligner la chose et d’y insister. C’est vrai qu’il y a quelque chose qui s’est guimauvé en l’homme, quelque chose qui s’est liqueurifié. De sorte que la plupart de nos contemporains sont devenus flasques à force de rester devant des écrans d’ordinateurs et de tapoter sur des touches. Enfin, ne tombons pas dans le bovinisme en exaltant indûment les bienfaits supposés de la cambrousse. Ce n’est pas en vivant au milieux des porcins et des bêtes à cornes que ça rends l’homme meilleurs, mais c’est vrai que l’on peut plus fréquemment se goinfrer de konfit de Kanard, avec un coup de rouquin pour arroser ça, c’est une chose sûr.

Ce qui compte, c’est l’amour libéré des entraves méta-synergiques que seul une prospective empirique permettra d’en réaliser la chose, et nous le savons bien. Alors, c’est une autre perspective d’humanité humaine qui se présentera à nous tous, avec la satisfaction légitime de tendre à la légèreté de l’être, pourvu qu’il soit libéré des systèmes hiérarchiques qui transpirent de nos sens, encore trop saturés de graisses poly-disturbiques. Seul, une régénérescence intra-désurbonucléique permettra de se tirer de ce mauvais pas, et ce point de vue est tellement consensuel qu’il est inutile d’en discuter plus à même, n’est-il pas ? Mais il ne faut pas se mettre martelle-en-tête, car se serait se faire du mal inutilement, d’autant que ça ne saurait en résoudre plus meilleur la chose. L’homme ne changera que par l’intra-libération, laquelle est conjecturable qu’à la condition de trifouiller dans ses viscères, de se tripatouiller les boyaux, de malaxer tout ça, même si c’est ragoûtant il faut faire ce boulot, c’est tout.

Certes, il reste le problématique problème du détramage techtro-chromatique que seul une progression diatonique dans un maillage bien tempéré pourra satisfaire, mais c’est oeuvrer dans une extra-dynamique qui nous éloigne un peut de la prospective-intra, qui retient le principal de notre attention et de nos intentions, sans nul détours. Mais les choses peuvent se démantibuler si les rouages de la mécanique intra-quantique sont ensablés par les sévices de la susceptibilité, et cela provoque de grands dégâts. C’est comme cette fameuse histoire des deux oeufs, l’un blanc et l’autre noir, qu’une mère-poule avait pondue goulûment, et qu’au final, cette mère-poule n’étant pas raciste, elle les avait mis tout deux en couveuse. C’est pour cela que depuis, la tradition catholique veut qu’à Pâques : il y est des oeufs au chocolat noir et des oeufs au chocolat blanc ; c’est une belle histoire, hein ? Mais l’homme n’est pas une de ces grassouillettes poule-pondeuse qui débite à plein tube ces oeufs insipides que l’on trouve dans les supermarchés. L’homme c’est beaucoup plus et personne ne peut chanter cocorico, la vie est plus préoccupante, pour sûr. Car l’amour n’a pas besoin d’être enturbané, n’a pas besoin d’être enrubanisé, et on peut se drapé dans sa dignité pour échapper à ce genre de remise en cause, mais ça n’est qu’une histoire de chiffon et il faut laisser les bonnes femmes s’occuper de cela, car c’est leur affaire de se crêper le chignon. Ce fut toujours ainsi depuis la nuit des temps, alors il faut se faire une raison raisonnante, et ça ira comme ça.

Si l’ovation, l’extrapolation, l’esprit de carpette et l’anti-mimétisme, ne peuvent plus y planter leurs tentacules en la reconquête-intra, en ses subgrégats inter-locaux, alors sommes-nous la bonne gadoue chocolatée pour faire miroiter les infra-clartées dont nous nous abreuvons ? Nous transverserions alors quelque chose de très peureux et de singulier : une belle venue à l’omérisme certes (du moins à son intitulé et au primaire de ses injonctions nasales), venant de gens très recta-psychologiques et somme toute enviables, mais une belle venue vidée de cette verve anti-rétive qui est pourtant le sang-premier de toutes relances de reconquête-intra : l’esprit de carpette, le tremblottement de la gadoue séchée que devrait contenir l’intériorité de celui qui puise l’amorçe dans la génuflexion. Quelque chose du moignon gigantesque qui, pointant de nos souches et de nos oeufs abondants, laissent l’homme qui se rue pantois, au point qu’il reparte parfois titubant après avoir un temps inversé son piétinement stéril. On ne peux s’aventurer à jauger plus ici ces choses cachées, et on en reste-là.

Mais on a vu s’ériger ces dernières années, quelque chose qui en dit beaucoup plus sur tout ces faits que l’on machinise prestement, qui ne saurait être vraiment externes, dont on est porteur aussi, ce qui force à l’humidité et au suréalisme. Quelque chose qui tiens d’un subtil mélange entre, d’une part, la moiteur qui pointe au sortir de toutes ces années de pulsations peut chargée en fructuoses glacées, de tellement d’objet trop vite bornés, de contre-indications et farfouillages insatisfaisants, et de beaucoup trop de mouchoirs mouillés, et, d’autre part, de résines séchées à la volonté de cette ermitage dont il est bien difficile de tourner les balcons. Donc : un service signée mais souffreteux, quelque chose du marcassin mal déconfit.

 

C'est curieux, j'ai mal au crane... normal; docteur ?

 

C'est beaucoup trop sérieux tout ça Kid ....

Mais j'aime bien ce reproche que tu fais à l'humain que tu refuses d'être, ce "bovinisme" ( qui doit déplaire fortement à nos moustachus arracheurs de transgéniques ) qui m'a explosé à la cervelle comme une couverture d'Hara Kiri ...

C'est vrai qu'on s'ennuie pas mal sous les soleils Lcd avec les touches des ordiclaviers scotchées au bout de nos doigts hystériques, qui vivent leur propre vie déconnectés de notre mental avachi dans un technoïde délire, comme les marcassins mal déconfits que nous devenons inexorablement et que tu fustiges si à propos.

Et si, en tant que marcassins taxiques, le grand abattoir ( ou le grand ordinateur selon Françis Lalanne ) nous attends tous depuis le jour de notre naissance qu'il n'appartient qu'à nous de decréter funeste ou lumineux ( moyennant quoi nous pouvons tout de même avoir prise multiple sur notre destin tinabullé ou tammarre selon ce choix qui fait de nous des joyeux lurons trempés ou des tristes sentenceurs secs comme des coups de triques ) il nous appartient évidemment de nous presser un peu la cervelle pour en faire sortir autre chose que du jus de cartes à puces.

Nez en moins ( snirrfff ), cher troyen des tempes nouvelles, je trouve que tu méga-aboutis pas mal du tout pour un Adobe addict.

Réjouis nous de temps en temps de tes exctises mystaques si délicieuses à mon vieux système neurodéfibrillisé par des années videovulgarisatrices en lieu et place de poésies fantasques et d'arts déstructurés que j'avalais gouluement en mes jeunes années pour avoir l'air plus Rinbaud le goéland qu'Arthur le roi de la boite ...

C'est rafraichissant mais si un jour tu veux faire éditer ta prose Dalienne tu va rendre névrotique le ou la correctrice qui devra remettre ton orthographe en place et qui va avoir un gros gros taff pour ça sans vouloir offenser l'adepte fervent de la diarrhée intra mentale formulisée que tu es ... Mais bon la verve prévaut largement sur la forme je te l'accorde volontiers ...

Malaxe, malaxe ... dirait Bashung .

 

haha, je reviendrais en mettre une couche-cullotte de temps en temps :lol: