Attention cacher votre micro

Bonjour à toutes et tous

je possède un sony HDR FX7E et j'ai placé une bonnette anti vent sur le micro embarqué.
cela fait 2 fois que l'on m'interdit l'entrée de 2 sites (Empire State Building à New York et le Parthenon à Athènes ) à la vue dudit caméscope que je porte à la main (il faudra peut être le mettre dans le sac).

La sécurité semble intriguée par la vue du micro enrobé de cette bonnette et me demande de démonter ce micro qui bien sur est impossible.
donc je dois laisser mon matos à la consigne!!

Je ne pense pas qu'il s'agisse d'une formalité administrative (il faudrait une autorisation pour ce qu'ils prennent pour un caméscope professionnel).

avez vous des infos sur ce curieux phénomène?

Tous les autre touristes pénètrent avec des plus petits caméscopes ou avec des appareils photos de pros pourtant !

 

salut

la chemise hawaïenne (tommy bahama) c'est pas un problème!!

c'est vrai pour le pare soleil et les poils ; j essaierai d'enlever tout çà !!

mais quand même je pense qu'il y a autre chose que le coté pro ; vu la tête de la sécurité , je pense plutôt qu'ils pensent à une arme cachée ou un pointeur laser !
(la vérité est ailleurs)

 

longueur de l'instrument

Bonjour Jakovideo,

Avec un certain décalage temporel je viens apporter un peu d'eau au moulin. Lors d'un voyage touristique, en groupe qui plus est, à Istanbul cette année, équipé d'une Sony HC5, on m'a refusé à l'entrée de tous les monuments le passage d'un simple monopod (pas de la caméra), ce qui va plutôt dans le sens des contrôles de sécurité que de l'aspect professionnel ou alors le HC5 ne les impressionnent pas.....

Cordialement

Patrick

 

le fait de ranger le caméscope ou ses accessoires dans le sac a dos (si vous avez un) avant de rentrer sur les sites peut marcher.
sauf s'ils fouillent aussi les sacs !!

amicalement

 

Massoud

C'est un bon exemple que celui de Massoud. On oublie rapidement ce genre d'évènements car ils sont immédiatement remplacés par d'autres qui viennent alimenter la surmédiatisation que nous vivons aujourd'hui.
Les contrôles de masse sont donc légitimes de même que le droit à l'image et la protection des oeuvres d'art (flashs des appareils photos) qui doivent être préservés.
Ce qui nécessite de demander des autorisations en les justifiant par un projet cohérent et parfois, même pour les amateurs, ça marche... Alors là c'est le pied!

 

+ 1 !

En cette période de paroxysme (en espérant que ça n'aille pas plus loin) de l'état sécuritaire, j'trouve que c'est un peu vite résumé. Le droit faut savoir s'le prendre aussi, en connaissance de cause, sinon on crève !