Antagonis

Perso, les "noise gates" je ne les utilise qu'avec un auto-mixer pour des débats radio, le micro ne s'ouvre que s'il y a une arrivée de module à partir d'un certain niveau programmable sur un canal, c'est assez facile car chacun a son micro proche, on peut établir des priorités et on a la possibilité de reprendre la main. En fiction, le cahier des charges n'est pas le même, si je suis seul je fais tout au micro sans à avoir à toucher au potar (à moins d'utiliser les orteils comme Saint-Kro au Nagra III), l'efficacité et la simplicité c'est comme le dit Video92, deux HF sur des canaux différents + ambiance bouche-trou..

 

Bonsoir,

Mêmes remarques que mes camarades, le son ne colle pas toujours avec la grosseur de plan.
Sur certains champ/contre-champ, j'ai l'impression qu'on n'a pas fait suivre le son, pourtant j'ai vu un monteur son au générique
Certaines répliques complètement hors champ auraient demandé un son seul.
Les fondus en sortie sont souvent brutaux (comme le bruit de porte).
Il manque une piste ambiance pour cacher les raccords et le silence plateau n'est pas toujours respecté, équipe ou voisins ?

Pour le noise gate, en cinéma, la principale exploitation était pour réduire le souffle de la piste optique.

 

Ca arrive même avec des pros , j'ai vu au montage des "cas" où à cause d'une rupture de code, la personne en charge n'avait pas été voir plus loin faisant l'impasse sur tous les plans d'illustration et les ambiances. C'était pourtant marqué sur l'étiquette de la cassette ... j'en passe et des meilleures.

 

Je parlais du non respect du silence, car on entend des voix en fond qui semblent chuchoter, soit ce sont les voisins qui font du bruit, soit c'est l'équipe du tournage....