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1er court métrage dans le but d'entrer à l'université!

Discussion dans 'Faire son film' créé par MJackson, 6 Juin 2007.

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  1. MJackson

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    Avis sur un premier court! en attente de critiques!

    salut!

    Bon alors je m'etais déja inscrite il y a quelques temps, 2 ans je crois mais j'ai perdu mon pseudo et mon mot de passe.
    bref quoi qu'il en soit, je viens ici pour vous demander votre avis sur le scénario que j'ai ecrit. il me tiens a coeur, j'y ai passé du temps malgré le peu de connaissances que j'ai malheureusement! donc soyez franc et sincère!

    Je projette d'entrer à l'université aux USA mais pour cela il faut que je réalise un court métrage qui aurait pu être celui ci! que d'illusions, de reves vous allez me dire! et oui! mais il faut bien des rêves dans la vie...

    Donc je vous l'envoie. mais soyez indulgetns sur la mise en forme car je ne sais pas vraiment comment on ecrit un scenario et les mouvements de camera etc... je suis quasiment ignorante.

    d'ailleurs, si quelqu'un sait ou je pourais trouver une sorte de recapitulatif détailé de tous le smouvements de camera etc ca pourait m'aider!!

    Voila je crois que j'ai tout dit!!

    Merci par avance pour vos réponses!

    bon alors désolé mais j'arrive pas a mettre en pièce jointe si quelqu'un peut m'aider!! :)

    et aussi vous ne pensez pas que ""ca craint"" de faire passer sur internet?

    MJackson
    ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
    alors bon j'ai fait un copier coller :

    La caméra joue les yeux du personnage.

    Scène 1 :

    - Ecran noir, silence pendant environ 10 secondes.
    - Le monologue commence.
    - C’est une voix d’homme, il parle lentement mais distinctement, il n’a pas une voix grave


    Monologue : Nous cohabitions ensemble depuis de nombreuses années déjà. Les premiers temps, elle m’avait obnubilé. Je voulais savoir. Savoir ce qu’elle cachait, ce qu’elle renfermait. Creuser. Chercher, deviner, trouver. Puis, petit à petit, je l’avais oublié, n’ayant pas trouvé de réponses à mes nombreuses interrogations.


    Scène 2 :

    - L’homme se retrouve dans un couloir, au fond, une porte.
    - La camera ne bouge pas.
    - La camera joue les yeux du personnage.
    - Finalement, l’homme s’approche de la porte, d’un pas hésitant. Focalisation sur la porte
    - L’homme se retrouve face à la porte, il approche sa main, saisit la poignée, la tourne. Il hésite.
    - La porte s’entrebâille légèrement dans un grincement.
    - On aperçoit légèrement la pièce. C’est flou.
    - L’homme lâche la poignée.
    - La porte s’ouvre entièrement, la porte est nette, la pièce est floue.



    Monologue : Tous les matins on se rencontrait mais j’en avais presque oublié sa présence, je ne la regardais plus, je ne lui prêtais plus aucune attention. Elle était devenue à la fois si familière et si étrangère à mes yeux ; insignifiante. Un matin, je la vis, je la senti métamorphosée, si présente, si différente. Je m’approchais. La perfection. Si surprenante. Pourquoi ce matin la ? Je ne savais pas. Etait-ce le moment ? Moment que j’attendais inconsciemment depuis la première année ?


    Scène 3 :

    - La pièce est un grenier. Poussiéreux, avec de nombreux cartons et des objets posés.
    - Un grenier banal.
    - L’homme est entré dans la pièce.
    - Vision d’ensemble de la pièce.
    - Il se retourne sur la gauche, s’approche du miroir, se regarde dedans mais ne voit pas son reflet.
    - On entend le bruit de ses pas.
    - La camera suit le personnage qui examine et visite la pièce.
    - sur les clefs.
    - Il se retrouve finalement face à la porte ouverte.
    - L’homme se rapproche de la porte, sort,
    - La porte se renferme dans un bruit sourd. Le bruit de la porte marque la fin de la scène.



    Monologue
    : À ce moment la, un flot de question m’assaillit, comme au premier jour. Pourquoi était-elle la avec moi ? Depuis si longtemps ? Pourquoi me cachait-elle tant de choses ? Qui était-elle ? Qui suis-je ? Pourquoi ce mystère si bien gardé depuis des années ? Mystère : incompréhension, inconnu, caché, secret, obscurité, tant de significations, de connotations pour un seul petit mot qui renferme tant de choses. Qui m’a tant fait imaginé, tant réfléchir, tant m’interroger. Demander. Personne ne savait. Depuis quand en définitive s’était-elle effacée ? En ne laissant rien paraître. Jamais.


    Scène 4 :

    - Il se retrouve dans le couloir.
    - il commence à avancer.
    - Il hésite, se retourne, reprend sa position initiale, change d’avis, se retourne, se retrouve face à la porte.
    - L’homme se retrouve face à la porte,
    - il approche sa main, saisit la poignée, la tourne. Il hésite.
    - La porte s’entrebâille légèrement dans un grincement.
    - On aperçoit légèrement la pièce. C’est flou.
    - L’homme lâche la poignée.
    - La porte s’ouvre entièrement, la porte est nette, la pièce est floue.



    Monologue : Quelqu’un possédait la clef, la clef de cette énigme. J’en étais convaincu, et ce depuis toujours, mais qui ? pourquoi ne disait-il rien ? De quoi avait-il peur ?


    Scène 5 :


    - Le personnage est dans une chambre noire.
    - Il s’approche du mur du fond
    - Il se baisse.
    - On voit un pistolet avec quelques traces de sang.
    - La main le saisit.
    - Le personnage jette un rapide coup d’œil sur le mur du fond.
    - On peut voir des dizaines de photos qui recouvrent les murs. Toujours la même, avec la Tête du personnage barré d’une croix rouge.
    - Il se retourne et marche d’un pas décidé vers la porte, sur de lui.
    - La porte se referme.

    Monologue : Mais la peur me retenais, la peur me rongeait, la peur me paralysait. Peur de découvrir ce secret si bien gardé, peur de passer de l’autre coté, peur de changer, peur des conséquences, peur de jamais ressortir, peur de ne jamais oublier, peur de la peur. Il fallait que je me résonne et que je l’affronte, que je découvre enfin tout ce que j’avais toujours voulu savoir, tout ce qui m’avait manqué, qui m’avait pesé, ce qui avait laissé un vide. Un vide plein, plein de questions, questions laissé sans réponses. Il était temps.


    Scène 6 :

    - L’homme se retrouve face à la porte,
    - il approche sa main, saisit la poignée, la tourne. Il hésite.
    - La porte s’entrebâille légèrement dans un grincement.
    - On aperçoit légèrement la pièce. C’est flou.
    - L’homme lâche la poignée.
    - La porte s’ouvre entièrement, la porte est nette, la pièce est floue.



    Monologue : Ça y est. C’était décidé, je voulais savoir. Maintenant je le savais. Personne ne voulait que je cherche à en savoir plus ; de peur de détruire quelque chose, ces liens peut-être. Cela faisait longtemps qu’ils n’existaient plus ; qui sait si ils avaient vraiment existés ; le faible équilibre de ce monde sans importance ? Que tout le monde avait tenté d’établir ? Équilibre qui ne reposait que sur hypocrisie, tromperie, mensonges et trahison.



    Scène 7 :

    - L’homme reste dans l’embrasure de la porte, en retrait.
    - Il balaye la pièce coup d’œil.
    - Finalement les yeux du personnage se posent sur le mur du fond.
    - La pièce est une chambre. Une chambre très colorée, les murs sont blancs. Chambre d’un enfant probablement, fille ou garçon ? On ne sait pas.
    - On entend au loin le bruit d’une berceuse, le rythme ralentit au fur et a mesure,
    - on entend des bruits de pas, au loin, des rires d’enfants.
    - Les bruits de pas se rapprochent,
    - on entend le bruit d’une lame (comme un sabre),
    - les rires s’arrêtent, et la, des giclées de sang giclent sur les murs blancs.
    - Le personnage recule, il sort dos à la porte et au couloir,
    - la porte se referme face à lui



    Monologue : Il me restait à agir. Chambouler. Bouleverser ce monde sans intérêt, sans amour, sans tendresse vide de sens. Comprendre. Et je comprenais. Enfin. Face à cette découverte j’étais pétrifié, mais heureux. La peur et la folie parcouraient maintenant mes veines. J’étais embarqué dans un tourbillon de folie. Délires. Paranoïa. Violence. Désirs. Souffrance. J’étais las de ce monde ignoble. La monstruosité de ma découverte m’avait enfin ouvert les yeux, l’esprit.



    Scène 8 :

    - Il se retrouve dans le couloir, il commence à avancer. D’un coup il change d’avis, se retourne, se retrouve face à la porte.
    - L’homme se retrouve face à la porte, il approche sa main, saisit la poignée, la tourne. Il hésite.
    - La porte s’entrebâille légèrement dans un grincement.
    - On aperçoit légèrement la pièce. C’est flou.
    - L’homme lâche la poignée.
    - La porte s’ouvre entièrement, la porte est nette, la pièce est floue.



    Monologue : Mais était-ce la réalité ? Mon imagination qui me jouait des tours? L’avais-je bien vue ? Comment était- ce possible ? Comment garder tout cela pour moi ?

    Scène 9 :

    - L’homme rentre dans la pièce,
    - La pièce est blanche, vide, seule des coupures de presses jonchent le sol, on aperçoit sur ces coupures, les pièces précédents. Des dizaines de coupures.
    - Au fond de la pièce, une fenêtre. Il fait nuit. On voit les lumières des gyrophares des voitures de police se refléter dans la pièce.
    - On entend les sirènes au loin.
    - la porte se referme violement.
    - Il balaye la pièce de plus en plus vite, tourne sur lui-même, il devient fou, complètement perdu. Le bruit des sirènes s’accentue. Les lumières des gyrophares sont de plus en plus vives.
    - Coup de feu.
    - Le tournoiement s’arrête,
    - on entend quelqu’un tombé.
    - Les murs et le sol sont blancs brillants,
    - le sang gicle encore une fois sur les murs,
    - on voit la main qui saisissait la poignée par terre, couverte de sang et le revolver a coté.



    Monologue : Il fallait que je fuie, que je m’en aille, loin, très loin, ne pas affronter la réalité. Les regards. Les jugements. La justice. Les gens. Il était temps. Je fuie. Je pars. Je l’abandonne. Je m’abandonne. Je suis perdu. A jamais. Condamné. Consumé. J’ai perdu. Tu as gagné. Tu as vaincu. Je suis vaincu.

    Scène 10 :

    - Ecran noir.

    Fin​




    Détails :

    A chaque nouvelles scènes faces à la porte, cette même porte est de plus en plus abîmée, des griffures, des poques, comme des griffures d’ongles, pour la dernière scène, la porte est couverte de sang.
    A chaque fois, la main s’approche de plus en plus rapidement de la poignée, la tourne de plus en plus vite et violement. La première fois, il se passe un long moment avant qu’il décide de l’ouvrir, on sent l’hésitation. Au fil du temps, on sent qu’une certaine violence s’empare de lui. Les portes s’ouvrent de plus en plus violement aussi.
     
    #1 MJackson, 6 Juin 2007
    Dernière édition: 8 Juin 2007
  2. d_foulle

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    J'ai jamais vu une aussi belle mise en forme, bien que cette structure peu rarement être appliqué, ici elle est efficace.

    Critique: J'aime à ma seconde lecture, lors de ma première j'étais un peu moin réceptif.
    C'est très cérébrale, ça ne plaira pas à tous. Je ne sais pas si j'aimerais, j'ai bien aimé la lecture, mais mes gouts ciné sont moin neurones que mes gouts lectures.

    Je trouve que les giclées de sang réduise l'aspect poétique, surtout scène 7.

    ca brise le style et le rytme et c'est difficile a rendre, j'immagine plus un plan de dos ou on le voit(flou) faiblir ou autre avant de se tirer une balle.

    Beaucoup repose sur la réalisation avec un tel court, l'émotion n'est pas transmise par l'acteur, mais plus par la caméra dans un tel court. Tu jou beaucoup sur la profondeur de champ, comment comptera tu la réduire... Tu ne peu pas te permettre la profondeur de champ d'une petite caméra dv ou hdv

    Je t'envoi aussi un message perso.
     
  3. d_foulle

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    La fin laisse sur la faim. bien il y a un suspence qui plane... si on ajoute une musique qui vas en ce sens les gens vont s'attendre a un gros "punch" à la finale.

    Le suicide de cette homme est plus poétique qu'autre chose.

    Je ne comprend pas la chambre d'enfant... peut-être je ne comprend rien.

    Et s'il prennait l'arme, la mettais sur sa tampe, mais dicida alors que de fermer le rideau et il vas écouter une idiotie a la télé(dans ce cas le début devrait avoir une scène ou il est devant, mais disons que cette pièce lui attire l'attention et il vas fermer le téléviseur

    a+
     
  4. MJackson

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    hey!!

    alors pour la chambre d'enfant je vous ai repondu par MP avec le reste.

    Pour votre fin, je préfère quelque chose de plus dramatique, de plus intense.

    voila!! merci pour votre reponse!!

    MJackson
     
  5. frederic_alexandre

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    Ben moi j'aime bien, cela me fait penser un peu a du Stephen King et puis la presentation est vraiment tres claire

    J'aurais surement accentuer la folie de l'homme avec des rires d'enfants ou des paroles de sa femme
    Par contre il ya un truc que j'ai pas compris
    " Il se retourne sur la gauche, s’approche du miroir, se regarde dedans mais ne voit pas son reflet" pourquoi ?
    "J’ai perdu. Tu as gagné. Tu as vaincu. Je suis vaincu." ca non plus j'ai pas trop compris, comment elle a gagne

    Un autre point de detail si tu veux, tu dis que tu veux integrer une universite americaine, ca risque pas d'etre un peu chaud avec une voix off en francais ?
     
  6. MJackson

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    hey!

    Donc, je vais traduire tout mon texte!

    ensuite, le personnage finalement ne se reconnait plus, le fait qu'il ne voit pas son reflet dans le miroir montre du moins pour moi, qu'il est en pleine crise d'identitité. il fait une sorte de lien entre son inconscient et son conscient, son conscient devient conscient de son inconscient.

    "J’ai perdu. Tu as gagné. Tu as vaincu. Je suis vaincu." c'est finalement son inconscience qui reprensente tous les delirs, la folie de l'homme qui le gagne peut a peut et qui finalement le retient en quelque sorte prisonier de sa propre incoscience, il n'a plus qu'une seule issue c'ets la mort: ou la police. son inconscience est devenu conscience et la vaincu.

    C'est pas super clair! désolé!
     
  7. d_foulle

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    Parfois les choses gagnent a être flou ;)
    Je n'avais pas vu les choses dans cette perspective... Mais plus si cette chambrea représentais le monde extérieur due a la fenêtre... c'est pour ça la sugestioon de conclusion qui n'est pas valable avec cela.
     
  8. MJackson

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    alors j'ai une question, plus haut, vous disiez qu'il fallait pas une camera dv ou hdv ( bien que je ne sache pas ce que ca veut dire!)
    qu'est ce qu'il faut alros comme caméra a votre avis?
    et comment passe-t-on de la camera a l'ordinateur?
    ce sont peut être des questions stupides mais j'ai cherché sur le forume et j'ia pas trouvé. et en lumière, il faut quoi?
    les cameras, vous les louez?

    Que de questions ^^

    merci pour vos reponses!!

    MJackson
     
  9. Arthur le moine

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    Si ton projet de court-métrage relève d'une grande importance pour la suite de tes études, il faudrait peut-être songer à t'entourer de personnes compétentes techniquement, qui sauront te guider dans tes choix de production.
    Tes questions ne sont pas stupides, mais tu n'as pas très bien cherché... ;) Le forum regorge de réponses à ces questions :
    http://www.repaire.net/forums/faq-dv.html
    http://www.repaire.net/forums/dv.html

    Bonne continuation, :)

    ++
     
  10. d_foulle

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    bien oui tu peu en dv ou hdv, mais je croyais que tu voulais jouer avec une profondeur de champ faible, mais c'est pas le cas. Si oui ca aurrais encore été le dv ou hdv, mais avec un truc du genre mini35

    Pas de problème avec aucun format... sauf le S-VHS lol
     
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