UnderLine

One line of tension revealing an unlocated and fragmented landscape, which will slowly charge a body with all of the energy it contains.

A Film created by Frédéric Lombard and Surjit Nongmeikapam
choreography and dance Surjit Nongmeikapam
Camera and editing Frédéric Lombard
Sound design Samrat B
music Piano Magic
To Be Swished/Dream Of The UPS Driver
All words and music by Glen A Johnson
Production assistant
Anushree Mathuria



This film was created at:

The Yellow Line Project 2011
conceived and organized by The Gati Dance Forum, New Delhi

Supported by:
Pro Helvetia- Swiss Arts Council
Royal Norwegian Embassy
Ministry of Culture
Japan Foundation
The British Council
South East Dance
Bharat Forge
Meeto Memorial Award

Facilitated by:
Liz Aggiss, Sonia Khurana & Joe Murray

special thanks to : Mandeep, Anusha, Doel, Karolin and Fabian

NEW-DELHI december 2011

filmed with a GH2 hack 66mb/s pancake 20mm.

 

Le pied !!!
Enfin, je veux dire … les pieds.
Car il y en a beaucoup là dedans!
Je me demande même s'ils n'ont pas servi à tourner.
Mais je me suis peut-être levé du pied gauche.

Si la vraie critique ne doit pas être acerbe, il est des prétentions intellectuelles qui demandent à être remises en place.
Commence D'ABORD par présenter ton projet et dire ce que tu as cherché à faire (en français si possible), après on verra.

 

Cournonsec, t'es un peu sec sur ce coup là. Essaye de ne pas réagir à chaud si t'es de mauvais poil ! Et on fait un peu d'anti-intellectualisme primaire ?
Contrairement à ce que tu laisses entendre, je trouve que c'est plutôt pas mal filmé. Il y a une bonne adéquation entre la danse et la façon de capter le mouvement. Ca reste classique pour une vidéo-danse mais ça fonctionne bien.
Et puis oui, en danse contemporaine les pieds c'est particulièrement important. C'est assez logique de les montrer non ?

GiLd

 

Je m'attendais à ce genre de réaction.
Chacun prend son pied comme il veut !
Il n'empêche que le fait d'asséner ce genre de "film" sans avoir la correction de nous en parler et de nous expliquer ce qu'il a voulu faire, n'appelle aucune indulgence. C'est une façon insultante de nous dire que si nous ne comprenons pas c'est que nous sommes des ignares et des imbéciles (ce que je suis peut-être mais dans ce cas, il eut été charitable de m'expliquer un peu … d'ailleurs, GiLd, puisque tu penses que je suis dans l'erreur, si tu me l'expliquais un peu ce "film" ).
Partant de là, je ne vois aucune raison d'adoucir mes propos.
Ce que l'on appelle "art contemporain" n'est que du verbiage pour expliquer une pauvreté artistique qui amène parfois à des extrêmes de stupidité. J'ai déjà vu EXPOSEE une baignoire d'eau sale avec tout un texte expliquant la démarche de "l'artiste" qui s'y était lavé. Les adeptes de Marcel Duchamp et de sa "Fontaine" ne sont que des gogos qui n'ont pas compris que c'était comme toute sa vie, du second degré.
L'œuvre d'art est par définition universelle, c'est à dire appréciée quelle que soit l'époque, le lieu ou les hommes. Crois-tu vraiment que l'on reparlera de cela dans un siècle ? Il y a dans ces prétendus mouvements une volonté délibérée de s'éloigner du peuple avec l'ambition d'être reconnu par une "caste" de prétendus intellectuels. C'est ignorer que l'art parle avant tout au cœur, l'esprit n'est là que pour analyser pourquoi il fait vibrer.
Alors, que l'on fasse des expériences artistiques, OUI, bien sûr, mais que l'on ne nous en impose pas les ratés en prétendant que c'est du Grand Art.

Mais je m'éloigne un peu du post de Zulma, je veux bien être un c-n et n'avoir rien compris, mais pourquoi donc n'a-t-il pas expliqué sa démarche ? TOUT LE MONDE LE FAIT sur le Repaire, chacun met en préambule ses motivations, l"esprit dans lequel il a été tourné etc.

Ceci dit, même si mes propos sont un peu virulents, l'Art a déjà connu ce genre de Bataille d'Hernanie, cela n'a rien de regrettable et c'est de cette façon qu'il peut évoluer. Je n'en veux pas à la personne de Zulma que je respecte. Je regrette juste que l'Art-Contemporain fasse l'unanimité dans certains milieux sans donner lieu à débat ou contestation sur sa valeur.

Sans rancune, ni à Zulma ni à GiLd

 

cournonsec je ne prendrais pas la peine de te répondre cette vieille rengaine faite pour attiser les haines est usée jusqu'à la corde.

merci Gild de tempérer ce manque de respect.

J'apporte quelques infos que je n'ai pas eu le temps de poster hier soir.
Le film comme cinq autres à été réalisé à New Delhi à l'invitation de Gati (le seul et unique centre de danse contemporaine en Inde). J'ai été invité à collaborer avec un chorégraphe indien qui est aussi le danseur du film. Nous ne nous connaissions pas et ce couple à été formé arbitrairement. Nous avons eu trois jours pour élaborer le film dans un lieu qui nous a été proposé, puis trois demi journées de tournage et deux jours de montage. J'ai choisi de me passer d'équipe technique pour filmer le plus discrètement possible. C'est très difficile de tourner en plein cœur de New Delhi en extérieur il y a toujours au moins 20 personnes derrière la caméra (enfin on fait en sorte qu'ils restent derrière ) donc du matériel léger des prises courtes ça aide un peu.
Il s'agit donc d'un film sous pression, mais tout depuis la rencontre avec New Delhi, les gens, les équipes présentent sur place reste une expérience inoubliable. Je ne peux que conseiller ce type d'expérience. Perso j'adore ça créer/réaliser/monter/présenter un film en 1 semaine chrono, c'est génial.
Au niveau de la conception des plans de la façon de filmer comme je l'ai annoncé sur place à mes commanditaires c'était "back to the basis" cad "je fais ce que je sais faire", le temps pour la recherche formelle ou théorique manquait cruellement (on a signé en connaissance de cause) mais malgré tout l'expérimentation est là. Mes ambitions était bien plus grandes avant d'arriver mais une fois sur place, j'ai vite appris à rester humble.
La danse contemporaine est très peu diffusée en Inde, le film est un très bon vecteur, après avoir été projetés dans un musée d'art contemporain puis dans une galerie d'art le soir même du bouclage de la post prod donc pour un public averti, les films -et ça ça me plait par dessus tout- seront présentés sur les lieux mêmes de tournage pour rencontrer un nouveau public, et parmi eux j'espère les gens qui nous ont interrogé, observé pendant ces trois demi journée de tournage.

 

Bien malgré toi, tu ne fais que confirmer ce que j'avais écrit.

Oh! Pardon, pardon, ô GRAND ARTISTE qui ne doit pas être contesté.

J'avais tout de même aussi écrit:
Je n'en veux pas à la personne de Zulma que je respecte....
Sans rancune, ni à Zulma ni à GiLd


Serai-je roué en place de grève pour crime de lèse-intellectuel ?

 

C'est toi qui est insultant dans ta catégorisation a priori : pourquoi le serait-ce pour ce genre de film ?
Je préfère d'ailleurs largement un réalisateur qui offre son film sans trop en dire, puis qui explique plus tard sa démarche pour répondre à des interrogations de spectateurs, sans que les détails ne viennent polluer d'emblée la vision du travail, ni qu'il tente de justifier son film avant même qu'on l'ai vu. En pensant l'inverse (c'est-à-dire une oeuvre ne se suffit pas à elle-même et doit nécessairement être accompagné d'une explication de la part de celui qui l'a fait), tu rentre toi-même en contradiction avec la vision que tu as de ce que tu appelles art contemporain - que tu confonds d'ailleurs allègrement avec une de ses formes, l'art conceptuel.

En tous cas, ce genre de film, quoiqu'on en pense, est suffisamment rare sur le Repaire pour qu'on ne cherche pas à les faire fuir, ne serait-ce que pour la diversité du Festival Permanent. Merci de respecter ça.


GiLd

 

Salut Zulma et Gild,

Effectivement assez intrigant ou déroutant de voir autre chose, un centre d'intérêt différent, un autre langage, un autre regard avec un même outil... Différent et intéressant, merci.

Belle journée
Wuba

 

Voilà la bande annonce de tous les films réalisés pendant le Yellow Line Project




Tous ont été tournés dans ce très court temps imparti avec des 7d, 5d et GH2