Quiproquo

et, très sincèrement, (et je le dis dans un autre sujet) ça m'embête, ça m'ennuie de critiquer en mal le travail de quelqu'un. Je n'aime pas faire ça ou avoir à le dire. Je suis persuadé que ce petit coup de pied au cul sera bénéfique pour le reste de ta production que nous attendons avec une immense bienveillance ! CONTINUE -mais bosse un peu plus

 

Bonjour Hulot,
Je ne te comprends pas. La critique est précieuse dès lors qu'elle est constructive. A moins que tu ne l'acceptes que lorsque l'opinion est positive. La "bienveillance" comme tu dis n'implique pas le manque d'objectivité et donc suppose aussi du négatif (ce qui ne signifie pas dire du mal), en revanche tes appréciations (non motivées) sont loin d'être amicales et je comprends que les asséner aussi brutalement t'ennuies un peu. Ce pauvre Lesmousquetaires a fait un mauvais film, nous sommes tous d'accord, mais à mon avis il ne méritait pas un tel déchaînement de diatribes.

 

J'avoue avoir été maladroit. Ou trop abrupt. Comme l'était son film, j'ai réagi au quart de tour, et ça a fait plein de vagues sur le forum. En tout cas, il y a eu réaction, ça, on peut pas dire le contraire. Si je voulais rigoler je dirais au réa: "tu as vu ce que tu as fait ?"
Bon, allez, je me calme.

 

Même pas, modeste amateur .."mais" le vrai problème c'est bien que pour critiquer il faut trouver matière à critiquer
Or là, rien ne tient de bout, tout, absolument tout est à reprendre et à soigner tout particulièrement
Il faut passer du temps, faire des efforts pour produire un travail correct
A minima dans la forme, quand au fond, le quiproquo Lierac (crème) /l' Irak aurait pu être amusant..
Voilà courage, soigne ce que tu fais, recommence, car là c'est comme on dit "ni fait ni à faire "
Bertrand

 

"ce n'est qu'une vidéo youtube parmi tant d'autres"
on ne justifie pas sa médiocrité par celle des autres. Idem pour la culpabilité au tribunal. Cette vidéo a bénéficié d'un processus minimum d’écriture et de comédiens.

Dès les premières tentatives de questionnement, j'ai trouvé le "journaliste" assez incompréhensible. Par contre je comprends très bien que les quidams n'aient pas envie de répondre à une question à la fois confuse et brutale.
Comme mes prédécesseurs le SMS est illisible , le tube de crème est trop furtif.
Les quidams sont tous du même sexe, du même age que l'animateur.
Le quiproquo entre un pays et un cosmétique est peu probable.
l'intention donc fait flop et la chute est ratée.

un amateur.

 

À mon tour de mettre mon grain de sel …

Le quiproquo est effectivement un ressort comique bien connu, en principe il repose sur une situation de malentendu.

Le malentendu dans ce cas est entre le journaliste et chaque interviewé, et, à répétition, ce qui, effectivement, serait exploitable… si l’un et les autres, ou un seul autre, s’ empêtraient dans un quiproquo un peu plus épais que le jeu de mots.

Il y a aussi et surtout que, si la situation de quiproquo doit être ignorée des protagonistes, elle doit être identifiée par le public et là, c’est le suspense, ce qui est une situation difficile à traiter en mode … comique, sauf pastiche.

NB. … je suis capable d’ exprimer mon point de vue sur ce clip, mais pas (ou plus) d’en réaliser un

Ceci dit … pas de découragement, "cent fois sur le métier remettez votre ouvrage" … fut la rêgle du spectacle (mais pas de sa "Société"!).

 

Bof! Pour des mousquetaires, cela ne fait pas mouche! C'est vraiment une vidéo quelconque sur YouTube.

 

Je présente mes excuses pour mon intrusion "prétentieuse" …

Cependant, je pense qu’ exceptions faites de la critique d’ Olivier sur le plan technique et de l’ amorce de Bertrand sur le plan scénario, écrire que c’est nul ou quelconque relève de ce que l’on a pu connaître pour d’autres domaines dans l’ adolescence ou la jeunesse et qui nous aurait plus refoulé qu'encouragé.

Ce genre de critique n’apporte rien de mieux que l’ “œuvre” elle-même … c’est pourquoi je suis entré un peu dans quelques détails où d’autres plus aguerris que moi en ce domaine pourrraient ou me reprendre ou développer ou etc.