C'est avec cet échantillon de Naphtaline que je tente ma chance.
Non pas que je sois fier de ce film (juste fier de tous ceux et celles qui ont cru en ce projet hanté), mais parce qu'en tant que cadreur rural et vidéaste buissonnier, le monde du studio, de la machinerie et de l'éclairage maîtrisé résonne pour moi comme une énigme absolue.
Et si les aléas du terrain affinent le sens de la débrouille, ils ne comblent pas mes lacunes fondamentales pour autant.
J'ai tout simplement besoin d'apprendre, d'évoluer, d'expérimenter et de transmettre.
Et par là même, en faire profiter les habitués comme les fureteurs du Repaire.