et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

On n'est jamais suffisamment conscient de l'importance du contexte dans lequel on vit , la mode , les tendances auxquelles ont est soumis malgré nous.

Apres les lampes torches, les sacs à dos, l'objectif, les filtres....les docus etc ...la dépression ...bref le manque de motiv ou le manque d'idée.. c'est à la mode...même ici.



Sociologiquement c'est intéressant ... les repères et références ....

Je propose ça pour la déprime et ça ne date pas d'hier

 

Justement, assez simple de lutter et surtout en s'interdisant de se soumettre à ces modes et ces tendances.

Il est bien gentil le Benjamin mais déjà ses illustrations au ralenti sont le parfait exemple du hors de propos sur la motivation.

Il veut qu'on s'identifie à quoi pour espérer retrouver le sourire et la niaque ?

Pas en s'imaginant épanoui(e) avec un air con ou conne avec son joli matos dont on sait s'être doté et qui dort pour le moment dans le placard ou la sacoche !

Tout est à portée en soi et il ne suffit que de patience et d'un sens de l'observation à peut-être encore affirmer.

Une idée se construit sur le temps et sans forcément (en) faire chaque fois des kilomètres ...

(N'importe quoi le Benjamin ).

 

Je fiche mon billet que pour un certain nombre de personnes, de passer son temps à écouter et regarder leurs fadaises, c'est déjà une source de démotivation...

 

non, mais ca fait passer le temps

 

Il a oublié la phase 4 (la catharsis )...

 

" Quel appareil me conseillez vous pour retrouvez de la motivation ?! "

A ce stade de la discussion quel retournement de situation inattendue dans notre série " le repaireflix " qui peu commencer à s'essouffler.... mais on a de bons scénaristes .

 

Plus beau le Repaire, le fil sans fin où les auteurs ne font jamais grève (eux).

 

Tout con hier, café matinal en cliquant sur une vidéo YouTube avec Simone Signoret pour la RTS finissant par parler du Chat et de La vie devant soi.

Assis tranquillos à peine sorti des bras de Morphée et tout innocent devant un café, reçu quand-même un brutal coup de pied au cul doublé d'une claque en pleine tronche me rappelant soudain ce qu'est une idée

Pas de quoi déprimer, en avant marche

(Bon, faut dire qu'en plein doctoring, çà fait une sacrée dose de vitamines).

 

Autre motif de déprime auquel ne pas céder : Tomber sur meilleur que soi ou que son propre projet

Même registre perso, même durée visée (24mn) :

A ce niveau de réussite, l'esthétisme ne se discute même plus ...

Fatalement même registre aussi de poésie avec toutefois des limites de "rose rouge" (Fabrice Midal) que je ne parviens pas car refuse d'atteindre (ourdit la "maman jungienne" ) alors que là, lui a carrément poussé le bouchon et que snif, il a malheureusement raison ...

Dans ce cas là, idem et plus que jamais ... en avant marche !!!

 

Rassuré, @homero n'est pas dans la déprime

(Moi non plus, déjà résolu, faut pas se laisser aller).

 

Décidément, été très chaud et actif, vu encore une très belle idée (en 7mn) à nouveau d'actualité et ouf, pas gratuite façon sombrer dans la facilité du sociétal :

 

Que veux-tu, un filon perçu depuis le Magicien d'Oz

Plus précisément, la sécurité (physique et/ou qu'affective) du foyer familial. Autre exemple tout bête parmi plein d'autres, le succès public (ou bassement commercial) de Maman, j'ai raté l'avion ...

Même si pas obligé d'y recourir, le savoir et en tenir compte si à cours d'idées mais là, même pas fait exprès

Le foyer familial peut être vu plus largement en "communauté" (militaire entre autres exemples avec Rambo).

 

Même ordre d'idée, la réplique devenue culte : "Je suis ton père" (à tenter avec le registre "Je suis ta mère" ?).

Dans le manuel de l'American Film Institute, un exercice de scène de dialogue (perso, toujours pas fait car comme une odeur de vrai sujet mature à ne pas faire mumuse avec) : Un(e) enfant rencontre (edit : pour la première fois) un(e) membre de sa famille dont il ou elle ignorait l'existence ...

(L'AFI prévient en préambule que de simples exercices proposés ont finis en films dont certains ont fort bien marché).