et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

je crois plutot qu'on vit une epoque ou c'est marqué sur l'emballage "ca a un gout de merde, mais c'est noté A+ coté energetique, plein de vitamines, sans gluten , respectueux pour l'environement, provient d'une industrie utilisant des sources renouvelable (evidemment c'est de la merde et ca y retournera) , vous pouvez meme manger l'emballage (contient des fibres), couvre la dose journaliere en carbohydrates pour les cinques semaine a venir, et si vous remplissez le bon au dos de l'emballage (pour autant que vous ne l'ayez pas mangé) vous pouvez toujours rêver (ah-ah) gagner le séjour en polynésie (voir la photo sur l'emballage qui vous a fait inconsciemmnt choisir ce produit plutot qu'un autre).et tout en bas. le fabricant decline toute poursuite medicales en cas d'ingestion de ce produit.parce que CE QUE vous croyiez etre une barre de cereale est en fait une lessive.

 

l'idee generale y est.

 

(D'abord bien préciser à @giroudf que je n'ai pas réduit ton approche très bien développée qu'au porno mais bien à tout son ensemble tout aussi libre et légitime).

Bien perçu vos soucis exprimés et même @batterie qui même s'il ne le dit pas, le pense si fort que j'ai entendu.

Reprenons tous et toutes l'exemple de l'extrait d'Elephant man :

Oui, on pourrait dire que "I am a man" est l'idée clairement énoncée et que c'est même un "sauves nous" assez sympa dans le SENS "je suis un être humain" toutes distances et différences confondues dont de tronche ou de sexe.

Sauf que si on se contente de seulement l'inverser vers son opposé ("I am a woman"), on sombre direct dans les propagandes de merde du moment (et aux abris les princes et princesses des étoiles et autres angelots et angelotes de la chasse gardée).

Alors se rappeler qu'une idée ne vient jamais seule et que des propositions de "sauves nous" continuent de débouler à un rythme plus ou moins effréné.

Ne pas baisser les bras et ne jamais se décourager.

David Lynch et Mel Brooks se sont en fait concentrés sur un "sauves nous", "je suis un(e) être humain(e)" en remontant jusqu'à l'enfance, âge du public.

Parmi les peurs de l'enfance à soulager par le rire aux éclats, les chaudes larmes ou l'émerveillement, il en est déjà suffisamment qui portent atteinte à l'esprit même le plus pur de l'enfance et qui devrait toujours sainement se perpétuer à l'adolescence puis à tout le restant des âges de la vie.

En se décrottant le nez comme des bambins eux-mêmes, leurs animus et animas ont fini par suggérer le regard d'une maman à jamais aimante et rassurante nous disant à nous, public resté enfant, ces mots de sophistication suprême : "Rien ne meurt jamais" (conclusion que perso).

(Edit : car l'esprit le plus pur de l'enfance à perpétuer et là, on peut commencer à inverser vers un opposé).

Je crois avoir déjà cité Robert McKee : "Une histoire s'écrit de l'intérieur vers l'extérieur".

Avec du temps, à son rythme et avec le degré de persévérance que de droit, on accepte ou non de s'accorder sans jamais avoir à se culpabiliser.

 

Il parait que la ou l'IA a de la peine c'est sur les mains. trop de variables.
Tous ces doigts qui bougent n'importe comment c'est galere.
Remarque que les artistes en herbe aussi souvent ont des problemes avec les mains.

 

pour Carl Young j'aurais essaye avec le doigt ailleurs.. soyons fou question introspection !

 

(Exactement ce qu'on m'a répondu "t'as qu'à faire technologie ou économie et social" et pour çà que préféré la buissonnière mais que dû quand-même finir en alimentaire, fonctionnaire de l'Etat ... de doigt).

Oui pardon, pas de second degré, le décrotter le nez est venu comme un con en rédigeant. Le doigt reste nettoyé et doit bien finir entr'au-dessus des lèvres et sous le naseau.

Mais déjà saisi dans vos réactions, le même certain semblant de libido jungienne

Crains surtout le procès de sortie de l'essoreuse perso. Elle est toujours au taquet sur un truc que lui a confirmé l'extrait en explosant à la tronche entre concentration et à l'insu de mon plein gré ...

(Vous aussi, vu un angelot et mes petits princes ? Ben, c'est pas fini ).

Autre indice pour tous et toutes, l'idée du "monstre dans la maison" descend bien enfin d'un véhicule.

(Edit : On parle ici de peurs pour l'extrait mais bien-sûr qu'il y a aussi des blessures d'enfance à soulager).

 

je vais essayer de l'installer sur ma machine en local.

 

(Ok et merci @homero mais pas de légion d'honneur, que belle conformité avec le propos en cours et toute la discussion. Néanmoins bien noté. En effet, les réponses (ou non réponses) suffisent. Pas grave pour @batterie, lui aussi est lui et il disait "fais de l'IA").

 

(2 raisons possibles de @batterie d'avoir supprimé son message. Soit, tu t'es repris pour ne heurter personne et suivez mon regard, @homero ; soit c'est ma réponse qui t'a heurté en tant qu'enseignant et dans ce cas, pardon, ce n'était pas toi que je visais).

Ma dernière recommandation à @giroudf #731, n'est pas abusive et demeure sérieuse et justifiée.

En cette trêve de fêtes, une non réponse ne sera que provisoire ou que si visites et coucous éventuels.

Et comme je dois en profiter pour aussi répondre à une requête d'Emmanuel @AQW333, je propose aux jeunes court-métragistes et à tous et toutes si éventuellement intéressé(e)s, la seule référence biblio appropriée à la présente discussion sur comment trouver des idées mais la sauver :

(rectif pivotant les pôles, Christopher Vögler est consultant et formateur et David McKenna, prof issu du théâtre, est également prof de scénar et consultant en comités de lectures).

p.25 #369 (par où commencer) n'est que ma synthèse perso

Le reste, le manuel de l'AFI, Syd Field (plus édités), Robert McKee, Le guide du scénariste du susnommé Christopher Vögler, Dara Marks et Blake Snyder, (même Yves Lavandier ) ne concernent que la discussion Faire son film/Meilleure leçon de scénario.

(Paul Schrader ne décourage pas, il fait du stimulus en prise de décision et persévérance).

Enfin et pour la circonstance, un message de Noël de la population angelotesque de ma chasse gardée où tout le monde sera toujours bienvenu :


Ainsi que d'une dose d'essoreuse perso (en astreinte car toujours au taquet) et où les couleurs de peau restent ici archétypales mais toutes que positives :

Joyeux Noël à tous et toutes

(Retraité de son alimentaire depuis octobre 2022 et donc à plein temps depuis, malgré un déménagement à encore régler mais en étant parvenu à une phase de reconstruction perso enfin mieux préparée aux idées).