et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

Je filme, donc je suis ?

 

Perso, je le pense dans ces 2 cas même si on peut aider

 

Je filme donc j'existe. Oui. Le film comme un miroir de nous (pas seulement de nos peines).

 

Ceci dit, je conçois tout à fait de seulement se réjouir d'avoir tout bien réglé et que son cercle privé soit très heureux de se revoir par exemple dans un mariage.

Mission alors en effet accomplie même si la question de leur avoir ainsi offert une occasion d'être même qu'un moment, acteur ou actrice de la vie, reste en suspend.

Ne pas savoir ou vouloir y répondre relève d'une telle humilité qu'il m'est moi-même impossible de ne pas l'admirer.

(Mais à une soirée pas de mariage, une invitée m'ayant aperçu la filmer (puisqu'invitée) m'a demandé de voir les images sur l'écran lcd. Sa réaction : "Qu'est-ce que j'suis moche !". Répondu : "Madame, ne vous inquiétez pas, çà ne montre que la réalité").

 

Mais pas du tout cherché à l'emballer, j'aurais pas été aussi salaud Mais quand-même, elle a compris et bien rit de l'ironie de ma galante provoc parce que réservée qu'aux stars

 

Pour la Fiction ? Pour le reportage...je filme ..le temps qui fuit ....

Enfin .... par dessus tout ..la beauté ..


( svt Jean-François )

 

c'est vrai que ca commence comme ca


et que ca fini comme ca

 

Oui parce que rigolo, la seule et vraie star qui n'a plus mon boudu, a les initiales IA

(@homero, moi ? Fréquenter un raout du 3ème âge ? Je préfère les manifs ).

Merci du notamment les acteurs et actrices, comédiens, comédiennes et apprentis et plus qu'en effet, la déco et les accessoires (d'avance, pas de mauvais esprit svp).

 

Pour çà que faut des vigilants si possible fins limiers qui lors d'un carillon du temps que tu as su faire sonner et l'ont fort apprécié, tiennent à te le souligner

 

(Et oui, la musique ! Aussi ! Et là, toujours pas de hiérarchie fiction/reportage/docu).

 

Ah oui, je dois préciser ici aussi sur l'essoreuse (évoquée par @nestaphe sur Amanita de @PetitNuage-Thomas), percuté depuis qu'on me reproche peut-être de proposer des images de maîtres artisans (Fellini, Visconti, Comencini, Lamorisse, ...).

Je n'incite pas à se coltiner tous les films en question, je ne cherche qu'à provoquer ce type de stimulus :

Je reconnais toutefois insister lourdement car très passionné et bavard.

Exceptions faîtes pour La cour initiant la discussion et Little boy que j'invite en effet à se taper, le 1er pour lier les moyens à une histoire et le second pour répondre à quel besoin prégnant d'histoires. Chacun(e) reste libre de répondre ou non à l'invitation, de se sentir concerné ou pas.

Mais je ne peux retenir une nouvelle couche d'essoreuse en rappelant d'abord que Georges Lucas et son copain Steven Spielberg ont abordé Joseph Campbell sur l'amphi de l'université de Columbia. C'est donc bien enseigné.

(1ers essais une fois bondis des pupitres, Starwars et Indiana Jones).

Pendant que les techniques de bases circulaient sur les bureaux des majors, Christopher Vögler, consultant, ajoutait sur les mêmes bureaux, ledit voyage du héros revu pour l'adapter au cinéma (à l'image et au son). Sollicité pour le répandre à tous et toutes, il a écrit son guide du scénariste.

Les consultants Syd Field et Richard Michaels Stephanik maintenaient et diffusaient encore leurs techniques de bases.

Quoiqu'en pense Paul Schrader, Robert McKee proposait à son tour une formation où il n'était plus retenu que la notion (jungienne) de "métaphore de la vie" en prêtant une attention particulière au peu de symbolique nécessaire à une narration et qu'un seul ballon rouge pouvait déjà suffire.

(Oui que des américains d'Hollywood mais en ce temps, en France, çà se bousculait pas au portillon pour l'enseigner ou le renseigner).

Bon, pourquoi à partir de là et même sans voir Little boy, "Est-ce qu'on peut y arriver, tu y crois ?" ou même "La dualité de la nature" de @PetitNuage-Thomas, deviendraient soudain si d'actualité ?

Parce qu'en ne notant qu'une seule de ces 2 phrases en haut d'une page blanche, les idées viennent et qu'il est bon de connaître le peu de technique d'approche ci-dessus indiquée pour pouvoir commencer à la développer et ainsi répondre à l'actuel besoin prégnant d'histoires en sachant en définir les moyens.

(Besoins actuels car trop profondes déprimes émotionnelles à nettoyer même en reportage ou docu dont animaliers).